Quand le signal crie, mais que l’organisation dort.

Dans un monde où l’anticipation stratégique est devenue un mantra, l’expression de « signaux faibles » s’impose comme la panacée des décideurs. Pourtant, le véritable problème n’est souvent pas l’absence du signal, mais l’incapacité de l’organisation à l’entendre, à le transmettre, à le traiter. Trop souvent, ce qui reste « faible » n’est plus le signal mais la culture qui l’accueille.

Géopolitique, renseignement, gestion des risques, découvrez pourquoi l’alerte ne suffit plus : c’est le système de réception qu’il faut interroger.

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