Le Salon du livre de Montréal s’est achevé samedi soir pour moi, après trois jours où j’ai enfin pu vous rencontrer en personne, vous les lecteurs actuels, passés et futurs. Plus d’un an qu’on attendait ça, putain de virus…

C’était un véritable plaisir d’échanger sur vos goûts, vos expériences de lecture et vos attentes. Si j’ai eu le plaisir de dédicacer un bon nombre d’ouvrages, je n’oublie pas ceux d’entre vous qui en sont restés au résumé sur le 4e de couverture. Ils sont repartis avec un marque-page qui rappellera le livre à leur bon souvenir pour un futur ajout à leur collection, un cadeau ou un emprunt à la bibliothèque.

Quelques anecdotes en vrac

— Vous m’avez interrogé sur mon expérience en tant que policier, tandis qu’un vrai policier est venu se faire dédicacer un exemplaire.

— Vous m’avez demandé s’il y avait une raison particulière à ce que je signe d’un C. à l’encre verte. Oui, il y en a une… En avez-vous une idée ?

— J’ai dédicacé Furor Arma à une grande diversité de lecteurs, pour « grand-papa André », pour « les hommes de ma vie » et pour Lorraine qui « veut vibrer ».

— Mais aussi un simple marque-page à la jeune Maïka qui voulait juste un souvenir et une photo avec l’auteur à mettre sur Facebook.

— Un jeune ingénieur à l’esprit vif et curieux s’est ému que je parvienne à le convaincre que la géopolitique, c’est un autre genre de mécanique.

— J’ai une pensée particulière pour Alia, une jeune femme musulmane qui ne lit jamais-jamais-jamais de romans parlant de terrorisme islamique. Sauf Furor Arma, dont le résumé l’a intriguée.

— Les statistiques ont été confirmées : au total, 74% des achats ont été effectués par des femmes, parfois pour leurs proches, mais surtout pour elles-mêmes. 

Un grand merci à vous tous pour ces belles rencontres ! Quelques autres activités publiques se dessinent pour les prochains mois, suivez-moi sur cedricdebernard.com et les réseaux sociaux pour ne rien rater.

À très vite !